Pour que je te fasse la cour ;
pour que tu me brasses ma tour —
pour que je te prenne au sérieux ;
pour que nous nous connaissions mieux —
pour que je me sente anéanti ;
pour que tu n’aies pas menti —
pour que le chien revienne à son maître ;
pour que l’on suive, le Dieu de tous les êtres —
pour que nos larmes coulent d’une manière abondante ;
pour qu’on se fabrique, des circonstances décevantes —
va falloir se trouver,
une manière d’vivre en paix :
une manière de survivre,
sans la Croix et sans regret.